URGENCE

INONDATIONS destructrices
AU PAKISTAN

le Secours Islamique France (SIF)
reste mobilisé ET CONTINUE D'AGIR

Pays d’Asie du Sud particulièrement vulnérable au dérèglement climatique, le Pakistan est toujours en état d’urgence nationale après les graves inondations de l’an dernier. Mobilisé sur place, le SIF a apporté de l’aide alimentaire à plus de 368 000 personnes, et multiplié grâce à vos dons les projets face à une catastrophe humanitaire d’une violence inouïe : accès à l’eau, l’hygiène et l’assainissement, soutien à la relance de l’agriculture et de l’élevage, lutte contre la faim, soutien psychosocial, notamment pour les enfants… 

De juin à septembre 2022, le Pakistan a été frappé par des inondations de grande ampleur. Des pluies de mousson d’une violence inouïe ont alors tout emporté sur leur passage, submergeant un tiers du territoire, détruisant bâtiments, terres agricoles, et provoquant des déplacements massifs de populations et la mort de plus de 1 700 personnes. Un drame lié au dérèglement climatique, a assuré l’ONU en novembre lors de la COP 27 :

« Le Pakistan est victime d’un carnage climatique qui dépasse l’imagination. Des vies ont été emportées par les flots et les plus vulnérables d’entre eux, les enfants, représentent un tiers des morts et des blessés. Ce pays est responsable de moins d’1 % des gaz à effet de serre au niveau mondial, mais paye un prix exorbitant pour le changement climatique causé par l’Homme… »

Basé sur place, le Secours Islamique France (SIF) avait fait appel à votre solidarité au début du mois de septembre pour pouvoir apporter du soutien aux populations touchées par la catastrophe humanitaire dans les provinces très affectées du Sindh et du Balouchistan. Grâce à votre générosité, nous avons pu déployer une intervention en urgence destinée à aider des personnes en situation de vulnérabilité extrême à subvenir à leurs besoins vitaux. Le SIF peut également s'appuyer sur le soutien du Centre de Crise et de Soutien (CCS) du Ministère des Affaires étrangères.

Cette première étape était capitale avant le développement de projets sur le long terme, toujours en cours. Près de six mois après cette grande catastrophe humanitaire, ce pays d’Asie du Sud reste en état d’urgence national. Tour d’horizon des actions du SIF face aux pires inondations de l'histoire du Pakistan, durablement fragilisé.

PAKISTAN : AVEC LE SIF, VOS DONS EN ACTION

Au Pakistan, face à la crise immense provoquée par les inondations de l'an dernier, le SIF continue d'apporter de l'aide humanitaire en collaboration avec le Programme Alimentaire Mondial (PAM) des Nations unies

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GRÂCE À VOUS, NOUS AVONS PU DÉPLOYER DES RÉPONSES D'URGENCE CAPITALES AU PAKISTAN. POUR CONTINUER D'AGIR, NOUS AVONS BESOIN DE VOUS !

DISTRIBUTIONS ALIMENTAIRES : DE L’AIDE POUR PLUS DE 368 000 PERSONNES

Les inondations ont provoqué le déplacement à l’intérieur même du Pakistan de millions de personnes, parties dans l’espoir de trouver des ressources pour survivre. Après les premières évaluations, nos équipes étaient alarmées par l’explosion de l’insécurité alimentaire, et les graves risques de malnutrition infantile.

D’où notre réponse d’urgence : dès que les conditions l’ont permis, le SIF a distribué dans des zones sinistrées des colis alimentaires à plus de 368 000 personnes, constitués de 20 kg de produits de première nécessité. Cette aide était complétée par des bouteilles d’eau potable. Chef de mission du SIF au Pakistan, Altaf A. explique :

« D’innombrables personnes n’avaient plus rien à manger du tout. Malheureusement, la situation est appelée à durer. Les opérations de distribution restent donc très importantes : avec les inondations, la pauvreté s’est accentuée, d’innombrables personnes ne peuvent s’en sortir sans aide humanitaire… »

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Face à la faim, l’une des conséquences des inondations, le SIF a apporté du soutien alimentaire à plus de 368 000 personnes, dont de nombreuses personnes âgées complètement démunies.

Actuellement, les équipes du SIF travaillent pour organiser des distributions alimentaires supplémentaires. Ce sera notamment le cas dans le cadre de nos projets Ramadan 2023, qui approche à grand pas, et Aïd Al Adha.  

du "cash for work" et du "cash TRANSFERT" pour lutter contre l'insécurité alimentaire

Le Cash for Work : face à la crise économique, des chantiers pour assurer un revenu d'urgence aux bénéficiaires aptes à travailler 

Pour permettre à des personnes volontaires et aptes à travailler de recevoir un soutien financier immédiat, le SIF a organisé une action de cash for work. Notre ONG les a employés sur des petites missions, comme du déblaiement. Ces chantiers de travail contre rémunération sont un bon moyen de lutter contre l’insécurité alimentaire de nombreuses familles et leur évite de contracter des dettes pour assurer leur survie. Notre Chef de mission indique :

« Les inondations ont ravagé les réserves : les denrées alimentaires indispensables comme les fruits et la viande sont devenues beaucoup plus rares. Pour les légumes, c’est très compliqué, la pénurie est réelle ! Résultat, les prix ont flambé de façon impressionnante. De nombreux produits de première nécessité sont devenus hors de portée des plus pauvres. De plus, il est très difficile de trouver un emploi, c’est un cercle vicieux. »     

En outre, le cash for work crée un cercle vertueux dans la communauté : de l’argent circule, les commerces et marchés locaux en profitent. Ce type d’action rejaillit également sur toute la communauté : quand ils concernent les routes, par exemple, les travaux peuvent rétablir les accès aux marchés, aux infrastructures de santé, aux écoles…

Des transferts monétaires pour plus de 100 000 bénéficiaires, dont des personnes âgées

Pour les personnes trop isolées ou encore dans l'incapacité de travailler, telles que les personnes en situation de handicap, blessées après la catastrophe ou encore des personnes âgées, les équipes du SIF ont procédé à des distributions monétaires. Cette aide, dont l'utilisation est suivie par notre staff, est destinée à aider les plus fragiles à subvenir à leurs besoin, tout en leur permettant de choisir selon leur situation propre. Plus de 100 000 personnes en ont bénéficié.    

ACCÈS À L'EAU, HYGIÈNE ET ASSAINISSEMENT :
DES RÉHABILITATIONS CAPITALES POUR 30 000 PERSONNES

Face à l’urgence, le SIF avait procédé à la distribution de kits d’hygiène (savon, purificateurs d’eau) et de moustiquaires. Notre ONG travaille désormais sur la réhabilitation des points d’eau potable pour 30 000 personnes dans des enclaves rurales difficilement accessibles. En parallèle, les équipes du SIF collaborent avec l’Université du Sindh, située à Jamshoro, sur un projet de pompes destinées à la purification de l’eau en zones inondées.

Ces réponses humanitaires sont destinées à faire face à la destruction des infrastructures d’accès à l’eau lors des inondations, qui a provoqué une véritable catastrophe humanitaire au Pakistan. La santé publique est en péril : faute de point d’eau potable, les plus vulnérables n’ont d’autre choix que de puiser dans les eaux stagnantes, polluées par des déchets et envahies de moustiques. Contaminée, l’eau devient un vecteur d’épidémies et de maladies potentiellement mortelles, telles que la diarrhée, le choléra ou la malaria.

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Au Pakistan, les dégâts sont immenses à la suite des inondations : le SIF multiplie les actions, telles que l’accès à l’eau

MOYENS D’EXISTENCE :
DU SOUTIEN POUR RELANCER L’ÉLEVAGE ET L’AGRICULTURE

Le bétail n’a pas été épargné par la catastrophe. Au Pakistan, plus de 730 000 bêtes ont été emportées par les eaux. Pour l’agriculture, le choc est tout aussi rude : des millions d’hectares de terres fertiles ont été endommagées, voire complètement détruites. Notre Chef de mission prévient :

« Les prochaines récoltes sont d’ores et déjà compromises, et la viande se fait rare. L’agriculture et l’élevage sont capitaux pour la sécurité alimentaire au Pakistan, et de nombreuses personnes ne peuvent plus gagner leur vie. Ils n’ont plus aucun moyen de subsistance… »

Sur le terrain, nos équipes ont lancé une opération de distribution de médicaments et d’alimentation adaptée au bétail pour aider les agriculteurs à relancer leur activité. Plus de 6 600 personnes ont reçu ou recevront du soutien. Le SIF s’est également organisé avec les autorités locales pour vacciner du bétail, le préservant ainsi de maladies dangereuses pour lui, mais aussi pour les personnes qui consommeraient leur viande.   

Le SIF concentre également une partie de ses efforts sur la relance des cultures. C’est ainsi que 200 agriculteurs ont reçu des outils et des semences. En complément, nos équipes proposent des formations pour aider les sinistrés à adapter leurs techniques au mauvais état de leurs terres. 

BIEN-ÊTRE ET PROTECTION DE L’ENFANCE :
DU SOUTIEN PSYCHOSOCIAL POUR SURMONTER LES TRAUMATISMES

Subir une telle catastrophe naturelle est très difficile pour les enfants, à un moment de leur vie où ils ont besoin d’un cocon protecteur plus que de toute autre chose. Le SIF leur porte donc une attention particulière lors des sessions de soutien psycho-social, également ouvertes aux adultes. Par exemple, des spectacles de marionnette interactifs, pour évoquer les sentiments ressentis par les enfants pendant la catastrophe, les aider à les identifier et à les maîtriser, ont été organisées par nos équipes. Ces actions sont renforcées par la distribution de fournitures scolaires, et l’organisation de cours et d’activités récréatives dans des centres d’apprentissage temporaires. Le SIF cherche ainsi à limiter l’impact de scolarités brusquement interrompues à cause de la destruction de nombreuses écoles.   

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Si la crise humanitaire au Pakistan a disparu des radars de la plupart des médias, la situation sur place demeure critique. Certaines zones du pays sont toujours inondées, la population est en souffrance, la reconstruction ne fait que commencer, les besoins sont immenses !

retour sur 2022 :
INONDATIONS AU PAKISTAN

Situation du moment, témoignages... (re)découvrez en intégralité l'APPEL à la solidarité formulé par le secours islamique france (SIF) pendant la catastrophe naturelle qui a frappé le pakistan   

Depuis le mois de juin, des inondations de grande ampleur liées à des pluies diluviennes de mousson ont provoqué la mort de près de 1700 personnes, et la destruction de plus d'un plus d'un million de logements. Plus de 33 millions de personnes sont affectées, et 50 millions ont dû se déplacer (source : ONU/UNHCR). Sur place, les équipes du Secours Islamique France (SIF) déploient une réponse humanitaire d'urgence : sécurité alimentaire, mise à l'abri, kits d'hygiène, eau...

Pour développer nos actions, nous avons besoin de vous !

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Kit alimentaire d’urgence*

Avec 65 €, soit 16,25 € après réduction fiscale**, nous pouvons notamment apporter un soutien alimentaire capital aux victimes des inondations, et contribuer à lutter contre la malnutrition infantile.


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Kit d’hygiène*

Avec 35 €, soit 8,75 € après réduction fiscale**, vous nous donnez les moyens, entre autres, de contribuer à réduire la circulation de maladies potentiellement mortelles liées à l’eau contaminée par les déchets et les débris, telles que la diarrhée aigüe et le choléra.
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Kit de mise à abri*

Avec 340 €, soit 85 € après réduction fiscale**, vous aidez, par exemple, une famille à réhabiliter sa maison gravement endommagée par les inondations, et à retrouver un logement décent sur le long terme. 

(*) Montants communiqués à titre indicatif.
(**) L'article 200 du code général des impôts vous donne droit à une réduction de 75% de vos dons plafonnés à 1 000€, puis de 66% au-delà dans la limite
de 20% de votre revenu net imposable. 

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«  Sécurité alimentaire, eau, mise à l'abri... Des vies sont en jeu ! »

Sur place, la réponse humanitaire du SIF est dirigée par Altaf Abro, notre chef de mission. Alors qu’il prépare la suite de notre intervention, notre collaborateur témoigne et revient sur le début de notre action au Pakistan, à découvrir dans la vidéo.
 

Comme l'explique notre collaborateur, les besoins sont immenses. En cause, la grave crise humanitaire provoquée par des inondations d’une ampleur telle que le gouvernement a dû décréter l’état d’urgence. Les autorités ont même adressé à la communauté internationale un appel à l’aide. Une nécessité, tant les conséquences des pluies diluviennes de mousson qui s’abattent sur ce pays sont dramatiques. Le 29 août, par exemple, soixante-quinze personnes y ont perdu la vie

Un jour noir de plus, qui avait alourdi un bilan dramatique, 

désormais estimé à 1 700 morts, dont au moins 550 enfants, et plus de 15 000 blessés graves depuis le début de la catastrophe* !

(*) Source : Autorité nationale de Gestion des Catastrophes , Pakistan. Le bilan est sans doute sous-estimé au regard du contexte.

Les inondations ont détruit ou endommagé plus d’1, 6 million de maisons, plus de 3,5 millions d'hectares de terres agricoles ont été ravagées*

Sur place, le chaos règne : les inondations emportent tout sur leur passage. Barrages détruits, glissements de terrain… Plus de 3 500 km de routes sont hors d’usage et 570 écoles ont été rayées de la carte. Selon l'ONU, plus d’1, 6 million de maisons ont été détruites ou endommagées, laissant d'innombrables familles sans abri. La sécurité alimentaire est en danger, les moyens d'existence sont touchés : plus de 730 000 têtes de bétail ont péri dans les eaux et près de 3, 5 millions d'hectares de terres agricoles ont été ravagées.

Plus de 50 millions de personnes* sont désormais des déplacés, forcées d’abandonner toute leur vie derrière elles pour tenter de trouver ailleurs sécurité et ressources nécessaires à leur survie. C’est le cas de Ghulam Rassoul, très fragilisé à cause de la catastrophe naturelle. Habitant de la province du Balouchistan, cet homme d’une cinquantaine d’années a perdu son toit et (sur)vit au bord d’une route avec sa famille, dont de jeunes enfants. Très marqué, il a témoigné de leur calvaire auprès des journalistes de l’Agence France Presse (AFP) :

(*) ONU/UNHCR

« Nous n’avons rien à manger, ni de tentes pour nous abriter »  

« Il pleut sans cesse, il y a une énorme accumulation d’eau. Nous avons faim, nous n’avons rien à manger. Nous n’avons pas de tentes pour nous abriter. Les enfants sont tombés malades, nous n’avons rien pour les aider, j’ai peur qu’ils meurent. Je me sens impuissant… »

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Basé au Pakistan depuis 2008, le SIF a enclenché une action d'urgence pour venir en aide aux populations extrêmement fragilisées par les inondations liées à la pluie de mousson.

Coordinateur de projets pour le Secours Islamique France sur place, Anis G. est très marqué par la grave crise humanitaire qui se déroule sous ses yeux. La situation est critique et s'aggrave à chaque instant : l'intensité des pluies de mousson est deux à quatre fois (selon les zones) plus importante que la moyenne des trente dernières années ! Le collaborateur du SIF témoigne : 

  « Au Pakistan, il n'y a plus rien, sinon de la détresse... »

« Même quand la pluie s’arrête, il n’y a pas d’accalmie : les rivières qui débordent, et des débris emportés par l’eau provenant des montagnes. Des villages entiers ont été englouti, d’innombrables familles ont tout perdu et se battent pour survivre dans des conditions d’hygiène catastrophiques. Quant aux personnes qui ont réussi à sauver un peu de leur stock alimentaire, elles n’ont aucun moyen de le conserver, et n’auront bientôt plus rien. Les gens s’entraident, mais cela ne suffit pas. Ici, il n’y a plus rien, sinon de la détresse… »

Au Pakistan, ces inondations prennent une ampleur dramatique. 

Une crise d'une violence inouïe est en cours. La population a besoin d'aide. 

SOYONS SOLIDAIRES !

EN DIRECT DU PAKISTAN : LES BESOINS SONT IMMENSES

Crise au Pakistan : le Secours Islamique France (SIF) déploie des distributions d'aide d'urgence, notamment alimentaire

Face à la catastrophe en cours, le Secours Islamique France (SIF) se mobilise. Basées au Pakistan depuis 2008, nos équipes apportent une réponse humanitaire d’urgence. Le Secours Islamique France (SIF) a déjà procédé à une première distribution d’urgence (alimentation, eau potable…) à plus de 8000 personnes.

L’action se déroule dans la province du Balouchistan, une zone très touchée, comme l’illustrent les propos de Ghulam Rassoul. Elle a été enclenchée dès que les conditions de sécurité l'ont permis, condition sine qua non pour ne pas provoquer de déplacements qui auraient mis en danger les bénéficiaires et les équipes.

Les colis alimentaires sont notamment constitués de plus de 20 kg de produits de première nécessité : de la farine de blé, du riz, du beurre, des pois chiches, des haricots... Malheureusement, l'eau est contaminée par les débris : la ressource est devenue un vecteur de maladie. Le SIF a donc distribué de l'eau potable. En plus de cette intervention, le SIF poursuit ses évaluations des dégâts et des besoins sur le terrain, étape indispensable pour renforcer notre réponse humanitaire du mieux possible.

Anis G. est coordinateur de projets au Pakistan pour le Secours Islamique France (SIF). Comme tous nos collaborateurs basés sur place, il est mobilisé sans relâche pour apporter des réponses aux inondations meurtrières liées à des pluies intenses (crues, etc). Depuis le Pakistan, il revient en vidéo sur la catastrophe humanitaire en cours.

« Les gens n’ont eu d’autre choix que de fuir et de tout abandonner derrière eux »

Le Pakistan est l’un des pays les plus exposés au changement climatique

Ces inondations massives sonnent comme une double peine pour la population. Le Pakistan reste marqué par la longue sécheresse survenue de mars à juin. La température avait alors dépassé 50°C dans certaines zones du pays, engendrant notamment insécurité alimentaire et pénurie d’eau. 

Il existe également un lien entre cette sécheresse et les inondations actuelles : les sols ne sont pas en mesure d'absorder la totalité des pluies de mousson, jusqu'à quatre fois plus intenses que la moyenne des trente dernières années dans certes zones. 

Pakistan mais aussi Tchad, Madagascar ou encore Niger, Burkina Faso et Nigéria… Les pays en développement sont les plus vulnérables aux conséquences du dérèglement climatique, un problème sur lequel le SIF multiplie également les actions de plaidoyer. 

Ce phénomène provoque une hausse du nombre de catastrophes naturelles, toujours plus intenses et dévastatrices pour les plus vulnérables. Par exemple, plus de 340 000 personnes sont actuellement affectées par de graves inondations au Tchad, l’un des pays les plus pauvres du monde, où le SIF prépare une réponse humanitaire en ce moment. Quant à Madagascar, l’île est  dévastée et endeuillée par des catastrophes naturelles récurrentes. Le Nigéria est également touché.  

Comme le Pakistan, le Tchad, le Nigéria, Burkina Faso et Madagascar sont des pays d’intervention du Secours Islamique France. Les besoins humanitaires sont immenses, l’urgence est réelle.

Ensemble, mobilisons-nous !